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chroniques d'un avocat engagé maître franck méjean menu aller au contenu accueil chroniques chronique du droit de la famille chronique du droit de la chasse media publications scp franck méjean avocat guide du divorce et de la séparation nous vivons une epoque moderne où l’art et la maniere pour le monde de la chasse de se tirer une balle dans le pied cela fait déjà bien longtemps que, fort de mon expérience professionnelle d’avocat ayant participé à de nombreuses et importantes émissions sur les différentes chaînes de télévision, auteur, chez hachette marabout, de quatre livres, j’attire l’attention des responsables du monde de la chasse sur la nécessité de s’adjoindre les conseils d’un cabinet de communication avisé, afin de lancer une campagne d’explications de ce que représente la chasse et de ce que serait la france et les français si elle disparaissait. j’insistais déjà, à l’époque du président baudin, sur le fait que j’avais remarqué que les non chasseurs étaient extrêmement sensibles lorsqu’on prenait la peine de leur expliquer l’impact fiscal que représenterait la suppression de la chasse. malheureusement, j’ai le sentiment, comme dans bien d’autres domaines, de prêcher dans le désert, et peut-être ai-je tort d’ailleurs. je sais le travail immense que fait thierry coste à la tête de son association, mais cela n’est pas suffisant. nous sommes attaqués de plus en plus, et de tous les côtés. je ne suis pas certain que le nouveau ministre en charge de nos activités soit particulièrement enclin à nous soutenir. en tout cas, ce dont je suis certain, c’est que toutes les associations parallèles que sa fondation subventionne sont pratiquement toutes anti-chasse. et je n’en veux pour preuve que ce qui vient de se passer cette semaine. j’avais recommandé à certains de mes amis de lire un article d’un hebdomadaire bien connu qui racontait comment un chasseur, en afrique, avait été tué par la chute d’un éléphant qu’il venait de tirer. loin d’exprimer une certaine forme de compassion, dans la mesure où les circonstances de ce tir sont très particulières, les réseaux sociaux se sont déchaînés et un de mes compagnons de chasse au chevreuil m’a transmis un commentaire, qu’il m’a autorisé à publier, et que je trouve extrêmement intéressant. je le livre donc à votre réflexion et à vos commentaires. « cher franck, la mort de ce chasseur d’éléphants suscite de très nombreuses réactions sur les réseaux, sur le thème : bon débarras !. » la chasse des grands animaux africains engendre des haines sans commune mesure avec la mort d’un animal. on a sentiment qu’elle engendre des réactions supérieures à celles suscitées par des massacres d’êtres humains. la déchristianisation a supprimé l’espoir d’un au-delà, il en résulte un tabou autour de la mort, que l’on ne veut ni voir, ni montrer, par exemple aux enfants qu’on éloigne du lit de mort du grand-père, pour soi-disant ne pas le traumatiser. une génération n’a pas été confrontée à la vision de la mort de ses proches, sa rencontre physique avec la mort se fait fortuitement devant le cadavre d’un animal que l’anthropomorphisme ambiant fait assimiler à la mort d’un être humain à laquelle on se refuse d’être confronté physiquement et intellectuellement. où est le temps où montaigne écrivait : « que vivre c’est apprendre à mourir ». quand les grandes instances nationales se décideront elles enfin à communiquer convenablement sur notre passion en expliquant ce qu’est une surpopulation, ce que rapporte la chasse à la communauté française par les taxes, les emplois qu’elle créait et ce qui se passerait si du jour au lendemain elle disparaissait. dans un précédent article je vous avais expliqué la politique du canton de geneve qui, par votation il y a trente ans, a interdit la chasse. j’avais suggéré à la fédération nationale de faire faire un clip d’information avec, en caméra cachée, la vision lamentable du mode de destruction des animaux, car il y en a trop en suisse. l’on m’a répondu que c’était trop cher. le jour où nous ne pourrons plus chasser, nous ferons des économies. maître franck mejean cette entrée a été publiée dans chronique du droit de la chasse , chroniques le 1 juin 2017 par maitremejean . chroniques du palais – des decisions parfois reconfortantes depuis déjà de nombreuses années, je vous relate les décisions rendues par telle ou telle juridiction en matière de résidence alternée. au fil du temps, j’ai pu me rendre compte que la justice avait une interprétation de la loi parfois un petit peu curieuse, à la limite d’ailleurs de la dénaturation puisqu’elle subordonnait régulièrement la résidence alternée à l’accord des parents. or il suffit de lire le texte issu du 4 mars 2002 pour constater qu’à aucun moment le législateur n’a parlé d’accord entre les parents. d’ailleurs, pourquoi faudrait-il qu’il y ait un accord pour une résidence alternée et qu’un accord ne serait pas nécessaire pour un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires. la question reste posée. depuis 3 ou 4 ans, la jurisprudence s’infléchit. devant la cour d’appel de montpellier, je vous ai déjà raconté qu’une composition avait souligné que la résidence alternée pouvait être un facteur d’apaisement entre les parents, ce qui est, de mon point de vue, depuis 1979, une évidence. une nouvelle décision vient d’être rendue par un excellent juge aux affaires familiales du sud de la france qui ordonne une résidence alternée, en reprenant les motifs suivants : « en application de l’article 373-2-9 du code civil, la résidence des enfants peut être fixée en alternance au domicile de chacun des parents ou au domicile de l’un d’entre eux. le conflit opposant les parents ne peut suffire à lui seul à empêcher une résidence alternée matériellement possible, à condition toutefois que ce conflit n’empêche pas l’épanouissement de l’enfant et que la résidence alternée soit véritablement conforme à son intérêt supérieur. en l’espèce, dans le dossier, le juge avait statué en 2015 et avait à l’époque souligné que les conditions matérielles de cette résidence alternée étaient réunies. aucun élément postérieur ne vient remettre en cause cette possibilité. il n’est pas contesté non plus que le conflit parental est toujours très important, même si la mère ne justifie pas de violences physiques ou verbales lors de la médiation. les plaintes déposées antérieurement à la décision avant dire-droit n’ont pas encore eu de suites et ne peuvent être considérées, au jour de la présente décision, comme une preuve d’un danger pour la mère ou pour l’enfant. il résulte néanmoins des pièces fournies, et notamment des copies d’écrans et attestations diverses que ce conflit se manifeste tout particulièrement à propos de l’exercice de l’autorité parentale sur l’enfant, inscription à l’école, droit de visite et d’hébergement, paiements de frais divers, etc. ainsi, le mode de résidence n’est pas seul en cause puisque le conflit a perduré, même suite à la décision du juge aux affaires familiales de novembre 2…. la résidence alternée n’apparaît donc pas, en elle-même, porteuse de conflits supplémentaires à celui qui existe déjà. » voici une décision de bon sens qui ne fait que reprendre les faits, sans parti pris, ce qui est satisfaisant. lorsque le soleil brille à l’horizon, autant en profiter. franck mejean cette entrée a été publiée dans chronique du droit de la famille , chroniques le 23 mai 2017 par maitremejean . paroles de juge 1 l’un de mes collaborateurs assistait un client devant un juge de l’est de la france et bataillait ferme pour obtenir la résidence alternée de deux petits garçons de 6 et 8 ans. une fois les plaidoiries achevées, le magistrat qui n’avait pris aucune note, se retourne vers notre client, et d’un air soucieux, lui demande : « si j’ordonne une résidence alternée, comment allez-vous faire pour garder vos enfants lorsque vous sortirez avec vos copains pour regarder un match de foot au bistrot en buvant une bière…sic… » la cour d’appel, saisie de la déci
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